Une majorité d’employeurs intègre aujourd’hui, dans son processus de recrutement, un premier appel téléphonique avant d’inviter le candidat à un entretien d’embauche.
Doit-on s’y préparer? Est-il sélectif? Doit-on se fixer des objectifs? Que faire si cet appel a lieu sans que l’on s’y attende?
Le Café-contacts du 20 février 2020 a traité du sujet de l’entretien téléphonique en guise de premier contact entre l’entreprise et le candidat. Le potentiel employeur appelle le candidat quelques jours après sa postulation et avant de le convier à un entretien.
C’est l’occasion pour les personnes présentes d’échanger leurs expériences et aussi leurs difficultés. Deux cas de figure se présentent :
Un appel spontané et inattendu du recruteur ou un rendez-vous téléphonique déjà fixé.
Quelle que soit la situation, il s’agit d’une excellente nouvelle, votre dossier a retenu l’attention et a passé le cap d’une première sélection! Cependant il est essentiel de ne pas sous-estimer cet appel, il est encore sélectif.
Dans le cas d’un appel inattendu, l’idéal est de couper court à l’entretien avec tact et de demander à fixer un rendez-vous téléphonique.
En effet, il est indispensable d’être préparé, de savoir de quel poste il s’agit, d’être dans un endroit adéquat, d’avoir à portée de main ses documents et de pouvoir se concentrer. Répondre à demi-mot, sans maîtriser totalement son sujet est un exercice périlleux.
Lorsque l’entretien téléphonique est prévu, une préparation minutieuse est de mise, de manière similaire à un entretien classique.
Quel est l’objectif du recruteur?
Comment s’y préparer?
Pendant l’entretien?
Quelles questions seront posées?
La conclusion de l’entretien?
Et votre objectif?
Durant le passage en revue de ces quelques conseils, les participants ont été très actifs et ont largement partagé leurs propres expériences, enrichissant ainsi les informations que tous venaient chercher.